Depuis le 11 janvier c’est donc un néo-zélandais qui pilote l’OIV à quelques mois du Congrès mondial de l’organisation et à quelques semaines des célébrations du centième anniversaire de la création du même organisme ; c’est aussi l’hémisphère sud viticole qui va présider l’organisation avec certainement des orientations différentes des pays européens qui tenaient la barre depuis pas mal d’années.
Ce cinquantenaire est expert pour l’OIV depuis 2005, en 2009 il est devenu Président de la commission « économie et droit » et c’est en 2018 qu’il a posé sa candidature pour le poste de directeur général.
Cette année est vraiment une année clef pour cet organisme avec le centenaire et surtout la fin des travaux pour son nouveau siège à Dijon appelé l’hôtel Bouchu d’Esterno qui devrait donc accueillir les 2500 participants au 45ème congrès mondial qui aura lieu en octobre prochain.
Alors que la consommation mondiale chute régulièrement un peu sur tous les continents, ce nouveau directeur aura du pain sur la planche afin de limiter les dégâts d’une filière dans le collimateur des associations anti-alcool et autres hygiénistes de tout bord !
Une année charnière donc avec de nombreux enjeux internationaux, le vin continue de faire sa révolution passive mais engagée….
Source : www.actu.fr